1. |
Marie
02:30
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Encore à refaire
La route, j’accélère
J’ai déjà hâte de repartir, mais
Tes bras grand ouverts
Chaque fois c’est la dernière
Cette fois je te prouve que je m’en tire
Que je me retiens
Que je te laisse derrière
Je me demande encore
Pourquoi je passe toutes mes nuits
Je suis tanné de rentrer tard de chez toi
Pourtant je m’était promis
Que je m’endormirais plus dans ton lit
Partout, tu m’effleures
Je compte les heures
Ma tête me crie fort de m’enfuir, mais
Tu ne lâches plus mon coeur
Je me meurs d’en vivre un autre ailleurs
Mais je te reviens
Mais je la laisse derrière
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2. |
Couleurs
02:42
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Elle t’a fait perdre toutes tes couleurs
T’as tout lâché
Tu l’as suivie loin, tellement loin
Sans jamais penser à revenir
Tes mains sont froides, coeur s’arrête
Le mur tombé
Tu perds tes sens, tu sombres encore
Reste éveillé
Mais les couleurs se mêlent, tes rouges virent bruns
On voit plus rien dans le dessin
Tu voudrais tant qu’au fond on voit son coeur
Y’a rien à faire
Tu trembles encore
Tu vois son monde
Tu vois les couleurs
Tu te plonges dans son corps
Tu revois son monde
Tu revois les couleurs
Tu replonges dans son corps
Tu verses du blanc dans les couleurs
Qu’elle a gâchées
Tu lèves les yeux, son corps s’étend avec
Avec un autre
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3. |
Dans ta tête
03:16
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Mal dans ta tête
Noyée dans les médicaments
Qui t’enchaînent
Faut pas laisser fuir la bête
Seul tu t’entêtes
À te souiller le sang
Comment faire pour faire autrement
Mais c’est presque de l’espoir que tu te laisses avoir
Quand tu caresses ta guitare
Chantes avec elle
Tout pour un rêve
Au milieu des cauchemars
Qui s’empilent à chaque nuit
Faut les oublier
Faire la trêve
Avec un monde qui tourne
Un peu trop croche pour un enfant
Mais c’est presque de l’espoir que tu te laisses avoir
Quand tu caresses ta guitare
Quand tu me dis que c’est trop beau ce qu’on peut créer
Chante plus fort
Seul dans ta tête
Tanné de tes médicaments
Plus capable d’être un enfant
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4. |
Embétonnés
03:15
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Deux pieds partis quelque part au loin
Comme de bons aventuriers
Les autres restés au port pour l’été
Un peu estropiés
Avec toujours un peu d’esprit en bas du fleuve
Preuve d’une histoire embétonnée
À toujours partir en l’air
À toujours revenir à pied
À toujours arrêter de se rembourser
Quelques années derrière
Quelques verres qui ne veulent plus s’effacer
À compter ce que l’on perd
On a compris au fond ce qu’on s’est gardés
Du sous-sol à la ferme au clocher de l’église
On a presque oublié qu’on a pu penser s’oublier
C’est vrai qu’on est jamais partis sur la même chanson
Qu’on en a pas fini de se piétiner les décisions
Mais ça fait longtemps qu’on n’a plus rien à ne pas se dire
De large en long
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